Démarche artistique
Artiste intuitive passionnée par l’énergétique, la spiritualité, les lois de l’univers, la théosophie, la mythologie, l’histoire, les civilisations, les sciences, la métaphysique, l’ésotérisme, la musique, et l’art sous toutes ses formes, je travaille en canalisant des énergies / informations. Une méthode de travail relevant de l’énergétique et en lien étroit avec la physique quantique: médium, je mets mon "canal" au service de l'art, sous toutes ses formes. Dans mes peintures, c'est l'énergie canalisée par mon corps qui me permet de créer. Je laisse alors le mouvement guider mon pinceau ou mon crayon, et ce dénuée de toute intention consciente.
Portée par des valeurs axées sur l'humanisme, l'éducation populaire; l'écologie et surtout, l'art et la culture pour tous, mes arts ont aussi pour vocation de guider vers une conscience toujours plus élevée. Au travers de mes peintures, guidances énergetiques (art divinatoire), la littérature, la photographie, la scène, j'aime à retranscrire l'invisible, l'inconnu, le champs des possibles, et permettre au plus grand nombre de se reconnecter à son moi authentique, sa conscience supérieure, NÔTRE conscience et intelligence collective.
Pour créer, je me connecte à des énergies non palpables, pour rendre visible l’invisible, l’état de multidimensionnalité qui nous entoure.
J’aime l’idée que l’espace et le temps n’existent pas, du moins pas de la manière dont nous les définissons aujourd’hui. Une chose est sûre, nous sommes tous les créateurs, dans ce présent, d’une multitude de réalités possibles, et nous nous devons de prendre nos responsabilités passées, présentes, comme éclaireur pour agir sur notre futur et dans tous les espaces temps. Un futur que je conçois meilleur, "pour les uns comme pour les autres".
Autodidacte, n’est pas le terme que j’utiliserais pour me définir en tant qu'artiste peintre, car que ce qui né sur mes peintures, je le canalise telles des énergies subtiles. Aussi, je considère qu’il ne s’agit pas seulement de moi, mais bien de quelque chose qui nous dépasse. D’un grand tout dont nous faisons partie, de manière universelle. En ce sens, ma démarche est de permettre une nouvelle façon de s’élever en conscience: en se reconnectant à Soi, au Noûs, à l'unité, au grand TOUT.
Formée au magnétisme, je pratique également l'art divinatoire, via des guidances énergétiques (cartomancie). Là encore, les cartes ne sont que support, pour me relier à ma médiumnité: à l'image de l'art, dans ma vie, et via lequel j'aspire aussi à aider les autres, c'est par le magnétisme dans mes mains que je canalise les informations.
Également passionnée de musique, de danse, et de chant, il est vital de pouvoir m'exprimer au travers des arts. Comme par le biais du théâtre, l’interprétation fait vibrer mon âme. Et si je prône l'art comme thérapie pour les autres, je sais également l'incarner pleinement.
Pour résumer mon Art et son mouvement, je le définirais comme de l'Art quantique, un mouvement que j'ai "découvert" par l'intermédiaire de mes pratiques artistiques, certes, mais je dirais avant toute chose, grâce au chemin spirituel que la vie m'a emmenée à emprunter. Une voyage fait de livres, de soif de comprendre l'univers, de rencontres... Tout cela en me laissant toujours guider par mon intuition, et mes ressentis, dans ce parcours de vie riches d'expériences, (et comme tout un chacun): des expériences aussi sombres, que lumineuses...!
Mon chemin...
Aujourd'hui artiste dacquoise d'adoption, je suis originaire de Limoges où j'ai vécu toute mon enfance et ma scolarité.
Avant de m’orienter vers les métiers artistiques qui m’appelaient, je me suis tournée vers l’animation socioculturelle d'abord, puis l’insertion professionnelle.
En 2007, le bac en Poche, je m'inscris en DEUST métiers de la culture à l'université de Limoges: une manière détournée pour moi de me rapprocher des métiers du spectacle et ce, sans avoir à avouer clairement à ma famille l'objectif qui était le mien: exercer le métier de comédienne. Malheureusement à la rentrée universitaire, on nous apprend que le cursus ne sera plus disponible pour les nouveaux bacheliers.
Après deux mois d'errance à la FAC, alternant entre Socio, LLCE études hispaniques, et petits boulots plus efficaces qu'un régime "comme j'aime", je gardais toujours mon rêve en tête. Bien consciente que ce dernier n'avait aucun lien avec ce que j'étais entrain de faire, je décide alors de quitter l'Université.
Je trouve en effet, une formation professionnelle, avec pour spécialité l'animation socioculturelle, et l'intègre alors, pour une durée de 3 ans, en alternance. Grâce à mon formateur et premier mentor qui marquera profondément ma vie, Jean Paul Bouzonie (Creps du Limousin), j'ai pu vivre une riche expérience, baignée dans des valeurs humanistes, portées par l'éducation populaire, et alliant culture et accompagnement: j'étais dans mon élément.
Il était aussi primordial pour moi, de donner du sens à mon existence, et cela passait par le fait de pouvoir me rendre utile aux publics les plus « fragiles ».
C’est ce que j’ai fait suite à cette formation, notamment en élaborant un projet pluridisciplinaire autour de l’art-thérapie et du handicap psychique, lors d'un partenariat avec un hôpital de jour, ( Le GEM à Limoges: Groupe D'Entraide Mutuelle) , et en partenariat avec une radio locale. (Beaub Fm, Réseau ferarock).
Puis, plus tard, (et après ma formation théâtrale), en mettant en scène des pièces de théâtre jouées par des personnes en situation de handicap (psychiques/physiques/cognitifs).
Aussi très concernée par la jeunesse et l’éducation, j’ai travaillé en partenariat avec plusieurs écoles (classées en ZUP), autour de projet de théâtre et d’écriture (Limoges) , et d'accès à la culture (Nantes).
Malgré mon diplôme en poche, et bon nombre d'expériences, il m'était encore difficile de trouver du travail. En 2012, un bilan de compétence m'amène à intégrer la Formation de Chargée d'Insertion Professionnelle: une formation intensive (en 9 mois, et équivalente à un BAC + 2). C'est par cette expérience que je découvrais les métiers de l'Insertion, en travaillant tour à tour:
-Au carrefour des étudiants (Université de Limoges), où j'accompagnais dans leurs projets, les élèves en situation de handicap, et, où j'ai pu monter un projet de parrainage et réseau d'anciens.
- à la mission Locale de Limoges, au service relation Entreprise.
- dans une société de travail temporaire et d'insertion (STTIL)
Puis en 2013, un évènement marquant , me permit de songer à mon rêve de toujours (...)
Comédienne de formation Professionnelle, c'est en 2014 que j'ai (enfin) pu faire mes classes à l'école de Théâtre "Les Enfants Terribles" (Paris 20). Dans cette école, dirigée par Jean-Bernard Feitussi, et sous l'enseignement de ses équipes: Patrick Raynal, Jean Michel Dupuis, Abbes Zahmani, ou encore France Hervé (entre autres), j'ai intégré directement la classe du second degrés, puis celle des 3ème degrés de l'école: un véritable tremplin pour les élèves "élus", qui peuvent alors se confronter au métier par le biais d'une création professionnelle. C'est à cette occasion que j'ai eu l'honneur de jouer une pièce sur mesure pour notre collectif: une pièce écrite par Léonore Confino (Nommée à 3 reprises aux Molières) et mise en scène par sa toute aussi talentueuse acolyte Catherine Schaub (Les productions du Sillon).
C'est dans cette création intitulée: " Parlons d'autre chose" (dont vous pourrez retrouver le dossier de Presse ici) que j'ai eu la chance d'interpréter le rôle d'Alice Gragasony.
Après ces débuts sur Paris, alors que la vie en Province commençait à me manquer, je laissais derrière moi ce projet afin de m'envoler pour Bordeaux. C'est là qu'assez rapidement, j'ai été castée pour interpréter le personnage principal d'une comédie à deux rôles "Une éprouvette pour deux" à la comédie Gallien: rôle pour lequel je serais choisie et que j'interpréterais pendant plusieurs semaines/mois.
Des évènements personnels m'ont ensuite amenée à revenir sur mes terres natales où j'ai travaillé pendant 4 ans comme comédienne et metteuse en scène (auprès de divers publics), au sein de la compagnie des Singuliers associés, grâce à qui j'ai pu approfondir mon champs de compétence et bénéficier (notamment), d'une génialissime et intensive formation AFDAS d'un mois, à l'École du One Man Show (Paris 9). Formation qui succédait elle-même, quelques mois plus tôt, à un stage sur le clown et le personnage, sous la tutelle d'une artiste qui m'a beaucoup inspirée: la fantastique Julie Ferrier.
Ces deux expériences viennent alors confirmer le feu qui brûle en moi pour la comédie, et le monde de l'humour. J'avais d'ailleurs quelques années plus tôt, intégrer la compagnie du Café Théâtre de Nantes, où j'avais pu partager la scène avec Edgar-Yves (et coucou) ou encore Elodie Poux.
En Février 2020 (le 27 Février), je décide alors de tout quitter à Limoges (mon job dans la Compagnie, mon logement, etc), pour revenir vivre à la capitale, soit 15 jours avant le tout premier confinement, en Mars 2020. La suite vous la connaissez...
Alors sans logement et dans l'incertitude de l'avenir, la pandémie remettait en question tous mes projets, et l'idée de me réinstaller à la Capitale, s'envolait derrière moi.
C'est pendant cette période que je me suis réellement investie dans la peinture. En effet, j'ai peint ma première toile en 2018, mais c'est véritablement cette période de confinement, qui m'a poussé à peindre (beaucoup). Puis j'ai décroché un emploi salarié dans mon second métier: chargée d'insertion auprès d'un public en situation de handicap psychique.
Fraichement installée à Dax pour cet emploi, ce dernier se soldera par une accumulation d'ennuis de santé, dont en 2022, deux diagnostics à 6 mois d'intervalles: l'adénomyose et la fibromyalgie...
Cette dernière se révèlera finalement être l'arbre qui cachait la forêt: un diagnostic du Syndome d'Elhers-Danlos, maladie génétique dite "rare", sera finalement posé en 2023.
Aujourd'hui, ma détermination me pousse à concentrer toute l'énergie qui m'est disponible, sur le développement de mon activité d'artiste, au service du Collectif et des valeurs qui me sont chères.